Ce que la danse libre rappelle…
Tuesday night fever ! Vous vous dites, mais attends le mardi c’est plutôt télé-dodo non ? Que ni ni. Avec Swell Dance c’est grosse soirée ! Le concept ? 19h-21h, on se retrouve en toute sobriété pour tout lâcher.
”Laissez-vous emporter par une vague de musique, et plongez dans le plaisir intense de la danse libre. Dansez ce que vous avez sur le coeur, que cela soit doux ou sauvage. Sans complexe ni technique à maîtriser.”
Alors mardi, c’était un peut tout ça à la fois. 1h d’impro guidée histoire de retrouver la chaleur des muscles, la légèreté des courants d’air, le frisson des chatouilles et bien sûr, cette envie de danser. Où se niche cette joie ? Pour elle : derrière les épaules, pour moi ça s’agite au bout des doigts, pour toi ?
Dj à l’écoute, on enchaîne avec 1h de danse totalement libre. C’est fun, ça sautille, ça ondule, coule, vole, saute, retourne… Et puis les moments qui m’ont donné envie d’écrire une bafouille se pointent :
La fatigue. Parce que 2h à fond en fin de journée, c’est chaud. Tu la sens venir la fatigue qui te déconnecte du délire, de l’ambiance, du son, du peuple autour de toi.
Rester.
Rester dans le bain de son pour faire l’expérience d’attendre et de voir ce qu’il se passe.
Je vous le donne en mile : tout est là, tout revient. Ca reprend au bout des doigts, une secousse qui remue les épaules et puis j’y replonge, saute, cours, crie.
Tout est toujours là. Le corps sait, si on se tait, il est probable qu’il se donne ce dont il a besoin.
Le corps sait et te dit.
Danse. Libre.